Cette semaine, j’ai souhaité commémorer un évènement particulièrement marquant pour les habitants et amoureux de la côte sauvage, il s’agit du naufrage de l’Amoco-Cadiz, survenu lors d’une marée d’équinoxe, le 16 mars 1978.
J’ai remarqué que cette date faisait conjonction avec celle du début du premier confinement 2020.
Voici deux oeuvres, en correspondance:
Le poème de l’écrivain Christian Prigent: « Amoco Cadiz… Ô maudit caca! – petite ballade objectiviste », lu et interprété par la comédienne Vanda Benes.
Le prélude pour piano de Claude Debussy, « Ce qu’a vu le vent d’Ouest », sur une vidéo captée sur la côte sauvage en hiver. (Vidéo et interprétation, Gwenaëlle Cochevelou)
Amoco Cadiz... Ô maudit caca! petite ballade objectiviste, extraite du recueil "Météo des plages" aux éditions P.O.L
"...Ce qu'a vu le vent d'Ouest" de Claude Debussy, pièce extraite des "Préludes pour piano"
J’ai voulu rendre visible la structure de l’oeuvre, avec des noms de thèmes inspirés par les éléments marins lors d’une tempête.
Ces oeuvres font aussi partie de la création « Chino pieds dans l’eau » à laquelle j’ai participée, dans le cadre des « Scènes d’automne au jardin » en 2017.